On teste des débats lancés par des AMD locaux, qui ont envie de discuter à partir d’article(s) du Diplo : « La prospérité du vice », « L’invisible pénibilité du travail féminin » et, si assez de temps,  « Appeler une victoire par son nom ». Réserver votre place en bas de l’article


Nous restons des enfants, il nous faut des histoires pour s’endormir. Pourtant les mythes des autres nous font rire.

En économie, Bernard Mandeville et plus tard Karl Polanyi désirent nous dessiller. La main invisible du marché, l’hypothèse d’un sujet rationnel en économie, la fable des abeilles, toutes ces fadaises dont on n’arrive pas à se débarrasser pour penser. Et qui empêche notre émancipation. Jérôme Maucourant, optimiste, imagine que la catastrophe écologique qui s’annonce va nous obliger à agir. Éthiquement.

La vision contemporaine (janvier 2018) de Frédéric Lordon ne manque pas non plus d’intérêt.


Non seulement le travail des femmes n’est pas rémunéré à hauteur de celui des hommes mais sa pénibilité est frappée d’invisibilité ! Naturalisé dans l’espace domestique, il n’est même pas reconnu comme exploitation par la théorie marxiste de la plus-value dans un cadre patriarcal, nous dit Christine Delphy, intellectuelle féministe !
On en débat ?

Pour une théorie générale de l’exploitation de Christine Delphy, sous-titré Des différentes formes d’extorsion de travail aujourd’hui, édité en 2015 chez Syllepse dans la collection Nouvelles questions féministes

Un aspect méconnu et terrible du sexisme contemporain, pour les plus démunies :

 



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